Loi de Murphy. Tout ce qui peut aller mal ira mal !

Mis à jour le : 02/05/2024 à 09:05

Je suis certain que vous connaissez tous cette loi !
Mais si, vous savez il s’agit de la loi qui, par exemple, lorsque vous avez passé des heures à élaborer, remonter, réparer méticuleusement et patiemment un truc, que vous arrivez à la toute dernière étape de votre travail, à la dernière vis, au dernier écrou, au dernier mot de votre devis, de votre dossier d’appel d’offres et qu’enfin vous voyez le bout du tunnel, ce moment précis où vous êtes content d’avoir « presque » fini le boulot en cours et que tout s’est bien passé !

Et là, patatras ; la vis tombe tout au fond, coincée, impossible de l’attraper ou alors vous vous apercevez que vous avez oublié de placer, de faire un truc important au tout début ou vous pétez le machin qu’il ne fallait pas péter ou encore vous écrasez le seul fichier qu’il ne fallait absolument pas perdre car vous n’avez pas fait de sauvegarde… Bref l’emmerdement maximum au pire moment ! C’est ça la loi de Murphy. Dans ces moments là, tout au fond de vous, vous éprouvez le sentiment que l’Univers entier est contre vous ! Une soudaine et profonde solitude mêlée d’une colère retenue vous submerge car instantanément vous savez qu’il faudra tout recommencer, tout refaire et probablement que le boss va débarquer pour savoir où vous en êtes… C’est à péter un boulon !devildevil

Tout ce qui peut aller mal ira mal !

Je ne sais combien de fois j’ai vécu cette situation ! Du coup dans le cadre d’un projet il vaut mieux prendre en compte la loi de Murphy. Et le pire c’est que cette loi est valable dans tous les domaines…

« S’il y a plus d’une façon de faire quelque chose, et que l’une d’elles conduit à un désastre, alors il est très probable que cela arrive ! »

Comment est née la « vraie » loi de Murphy ?

Source : Quora :

La loi de Murphy est née d’une façon assez anecdotique. Edward Murphy Jr. était un ingénieur de l’U.S. Air Force. En 1947 en Californie, il menait une expérience dont le but était de tester la tolérance humaine à la décélération. Les tests utilisaient un chariot propulsé par une fusée et monté sur un rail, avec une série de freins hydrauliques en fin de parcours.

Pour mesurer la puissance de cette décélération, des jauges étaient placées aux harnais reliés au cobaye. L’assistant de Murphy, lui, s’occupait d’installer tout le matériel et de câbler les harnais avant de lancer le test. Sauf que, bizarrement, les tests indiquaient tous une force nulle…

En y regardant d’un peu plus près, Murphy se rendit compte que l’assistant avait placé les harnais à l’envers. C’est là qu’il prononça cette fameuse phrase: « Si ce mec a la moindre possibilité de faire une erreur, il la fera ! »

Une loi, plusieurs versions

Un ingénieur aussi présent au moment des tests, George Nichols, en parle avec ses collègues, en répétant ce qu’il vient d’entendre et en appelant ça la «loi de Murphy», un peu sur le ton de l’humour, pour se moquer de l’arrogance de l’ingénieur. La manière dont il l’interprète et la raconte est de dire que si une chose a une chance de mal tourner, alors elle tournera forcément mal.

Sauf que plusieurs autres personnes nient cette version, dont l’un des fils de Murphy. Celui-ci explique qu’en réalité, ce que son père avait dit était que s’il y a plusieurs façons de faire une chose et que l’une d’entre elles mène à un désastre, alors il y aura toujours quelqu’un pour le faire de cette façon.

Bref, la loi de Murphy a gagné la notoriété qu’on lui connaît pendant une conférence de presse, où il a été demandé: « Comment est-il possible qu’aucune personne n’ait été blessée ? » La réponse fut que la loi de Murphy avait été prise en compte et que, pour ce genre d’expérience, il était important d’envisager toutes les possibilités.

Comme quoi, parfois l’expérience a du bon…
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